Le chapeau
Dans le cadre de la campagne pour l'élection du président de la République de ce samedi 25 octobre 2025, la Conseillère économique, sociale, environnementale et culturelle, par ailleurs cadre du Rassemblement des houphouëtistes pour la démocratie et la paix (Rhdp), Colette Pellaud épouse Lakpé, a organisé, le dimanche 19 octobre 2025, un meeting pour le lancement de la campagne du candidat de son parti, Alassane Ouattara, a Niaprahio.
En présence d'un nombreux public composé de chefs traditionnels, de jeunes et de femmes venus de plusieurs villages de la sous-préfecture de Guibéroua, Colette Pellaud a lancé un message d'union autour de la candidature de son champion.
A l’en croire, Niaprahio a fait le choix du couple Ouattara depuis l'opposition. Il est donc temps de concrétiser ce choix dans les urnes lors de la présidentielle de ce samedi 25 octobre 2025 en lui accordant un autre mandat pour poursuivre le développement de la Côte d’Ivoire. « Nous allons démontrer, une fois de plus, que nous restons fidèles à notre choix. Nous allons sortir nombreux pour aller voter et garder notre titre de champion des suffrages exprimés », a dit Colette Pellaud. Qui avait à ses côtés son époux Raphaël Lakpé ; le cadre Rhdp de Guibéroua, Hervé Tapé ; ainsi que plusieurs chefs traditionnels du Grand Guibéroua, avec à leur tête le chef du canton Dri, Dizoe Bro Robert.
Au nom de la jeunesse du Grand Guibéroua, le président Eric Babli a pris l'engagement de soutenir Colette Pellaud dans le cadre des actions de développement des localités. Tout en prenant l'engagement de faire en sorte que le scrutin présidentiel se déroule dans la paix dans toute la zone du Grand Guibéroua.
Saisissant l'occasion, le porte-parole de la jeunesse a soumis quelques doléances à transmettre au chef de l'État, Alassane Ouattara, notamment la construction d'usines dans la zone de Guibéroua et le financement de projets pour résoudre la question du chômage des jeunes.
Il a, par ailleurs, plaidé auprès de Colette Pellaud épouse Lakpé afin d'intervenir auprès des autorités compétentes pour la libération des jeunes du Grand Guibéroua, mis aux arrêts lors des dernières manifestations enregistrées dans la région.